Le Loir-et-Cher, une destination mise à l'honneur au cinéma

Le Loir-et-Cher regorge de trésors architecturaux et de coins de verdure qui ont su attirer l'oeil de réalisateurs français désireux de retranscrire la beauté de notre région à travers leurs créations. Laissez-vous conter l'histoire et les paysages du Loir-et-Cher à travers ces pépites cinématographiques qui ne manqueront pas de vous émerveiller et de vous donner envie de marcher sur les pas de ces artistes...

La Sologne, terrain de jeu des cinéastes

Entre paysages de forêts, landes de bruyère, tourbières et étangs, la Sologne constitue un véritable trésor pour les cinéastes animaliers et réalisateurs français. Découvrez la vie sauvage de la Sologne grâce à nos deux têtes d'affiche...

Le Chêne de Laurent Charbonnier et Michel Seydoux (2022)

Cinéaste animalier originaire de Blois, Laurent Charbonnier a à coeur de nous faire vivre la forêt de Sologne et nous présenter ses petits êtres qui y vivent, s'y nourrissent et s'y protègent. Véritable hommage à la nature, ce film documentaire nous conte l'histoire d'un chêne bicentenaire au rythme des sons poétiques de la nature et de ses habitants sauvages. S'adapter à la nature pour écrire une histoire... telle est sa philosophie.

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L'Ecole Buissonnière de Nicolas Vanier (2017)

Lui-même ayant grandi en Sologne, Nicolas Vanier nous amène à découvrir la vie de cette région sauvage au début des années 1930 à travers les yeux d'un jeune orphelin, Paul, quittant Paris pour se rendre dans la campagne Solognote. Cet apprentissage de la nature nous amène à vivre et ressentir la forêt de Sologne à travers ces personnages amoureux de leur territoire et des secrets qui l'entourent.

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La citation de Nicolas Vanier :

"Il était naturel que je revienne chez moi pour ce film, sur ce territoire que j'aime et où j'ai développé, dans les pas de mon grand-père, mon goût pour la nature et ma connaissance de la forêt et des animaux." - Nicolas Vanier

 

Chambord choisi comme personnage principal

Avec ses 5433 hectares, le domaine de Chambord est devenu au fil du temps un décor pour le cinéma. Architecture, paysages et animaux s'allient pour former un ensemble cinématographique unique.

Chambord de Laurent Charbonnier (2019)

Et oui... Laurent Charbonnier n'en est pas à son premier coup d'essai avec "Le Chêne". 2019 fut l'année des 500 ans de la construction du château de Chambord en 1519 par le roi François Ier. A cette occasion, le film nous raconte 5 siècles d'histoire politique et artistique dédié à ce joyau de la Renaissance. Laissez-vous transporter dans un voyage féerique à la découverte de cet édifice fantastique et du règne animal !

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Coeurs Vaillants de Mona Achache (2022)

Le saviez-vous ? Le château de Chambord fut le lieu d'exil et de protection des oeuvres d'art des musées nationaux, dont le Louvre, lors de l'occupation allemande. C'est dans ce contexte historique que Mona Achache nous livre son film, le récit fictif de 6 enfants juifs cachés en août 1942 dans le domaine de Chambord. Guidée par le témoignage du périple de sa grand-mère, la réalisatrice nous dévoile son nouveau film poignant. A coeurs vaillants, rien d'impossible...

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Pour compléter votre filmothèque :

Le Loir-et-Cher a aussi su inspirer les plus grands réalisateurs français dans la production de leurs films. Voici 2 films qui ont su mettre en valeur nos monuments à travers des scènes marquantes :

L'auteur : Noëlline - Val de Loire 41

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